Située à une vingtaine de kilomètres de Saint-Nazaire, la Turballe est à la fois un port de pêche et une station balnéaire.. FRANK PERRY / AFP
Jeudi, les services de l’État avaient communiqué sur une «irisation» de l’eau au large de La Turballe qui pouvait résulter d’une pollution aux hydrocarbures. Après analyse de prélèvements, cette hypothèse a été écartée. L’interdiction de baignade a été levée.
La situation énoncée par les autorités laissait craindre une possible atteinte à l’environnement. Jeudi, la préfecture de Loire-Atlantique avait communiqué au sujet d’une «suspicion de pollution aux hydrocarbures» au large de La Turballe après avoir constaté une «irisation» de l’eau. Devant la potentielle dangerosité du phénomène, un arrêté municipal d’interdiction de baignade avait même été pris. Les paludiers avaient été enjoints de prendre des «mesures de vigilance et de sauvegarde durant 24 heures».
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Il s’agissait d’une fausse alerte. Après analyse des prélèvements effectués, la suspicion de pollution n’a «finalement pas été confirmée», a indiqué la préfecture maritime de l’Atlantique dans un communiqué. «Par conséquent, les arrêtés qui avaient été pris, notamment par les communes de La Turballe et du Croisic ont été levés», a-t-elle ajouté.
Les recherches effectuées «ont permis de constater une simple efflorescence planctonique à proximité des plages de la Turballe», précise le communiqué évoquant «un phénomène naturel sans risque pour l’environnement».